Maki Kadafi

La Convention pour le respect des droits humains ( CRDH) et la  société civile  de la chefferie de Walendu-bindi, territoire d’Irumu, se disent satisfaites de la récente rencontre tenue par l’administrateur de ce territoire avec les deux groupes armés dont la FPIC dit « Chini ya kilima »  et la  FRPI à Songolo.

La CRDH et la société civile émettent le vœu de voir ces deux groupes armés cohabité ensemble, et faire oublier les évènements malheureux qui ont régné depuis lors entre ces eux.

Christophe Munyanderu, coordonnateur de la CRDH antenne  d’Irumu encourage la décision de la FRPI  et celle FPIC (Chini ya kilima) pour la cessation des hostilités. Selon lui, cela permettra aux populations longtemps meurtrie par les affres de guère de vaquer librement à leurs occupations.

Il remercie le colonel Siro N’simba Bunga Jean, administrateur d’Irumu pour son travail dans la recherche d’une paix durable dans cette partie du pays. « Qu’ils oublient vraiment le passé pour le développement de leurs entités », déclare-t-il à congoleo.net.

Jean-Claude Katanga, de la société civile locale appelle les communautés des chefferies de Walendu-Bindi et d’Andisoma au pardon. Aux opérateurs économiques de reprendre leurs activités au marché d’Aveba.

Il faut dire que la réaction de la société civile intervient 48 heures après la rencontre entre l’administrateur du territoire d’Irumu avec ces deux groupes armés. Une rencontre qui a eu lieu le 26 octobre dernier.

Elias Lwayivweka depuis Bunia

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