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Dans le but d’évaluer les risques et danger que présentent les gaz « nocifs » du lac Kivu, le PNUD a organisé un atelier de restitution du rapport de l’étude effectué à ce sujet.

Des résultats apportés après la descente sur terrain sont plutôt rassurants. D’après les experts qui ont fait la restitution, le danger n’est pas « d’actualité ».

Ce rapport montre que,  le gaz Méthane (NH4) et le gaz  Carbonique (CO2) contenant dans le Kivu, ne constituent pas un danger à l’heure actuelle.

Ces gaz sont à plus de 200 mètres de profondeur et ne peuvent atteindre la surface qu’en cas de grandes catastrophes. Là, on parlerait d’éruption limnique, qui souvent est provoqué par le volcan sous-marin ou la descente des laves vers les eaux profondes (contenant le méthane ou le CO2).

« Nous encourageons nos chercheurs de continuer à faire d’autres recherches afin d’amener nos autorités à avoir un sens de responsabilité. Par rapport à ce que moi j’ai suivi, les difficultés qu’ont trouvé nos chercheurs c’est réellement liées au manque d’accompagnement » Déplore Alain Shindano, un activiste de la Société Civile, et l’un des participant à cet atelier.

« Nous disons bon courage au PNUD et à ses partenaires d’être intervenu, pour accompagner des tels recherches. Lesquelles recherches ont pour but, de sauver l’humanité » A-t-il ajouté.

Rappelons que ce travail  a été réalisé par quatre éminents professeurs et chercheurs en matière. Des résultats obtenus peuvent toutefois être changé, dans le temps comme l’ont précisé les experts.

Débuté depuis le lundi 10 octobre, ce travail de restitution du rapport de l’étude des experts sur le risque et danger de l’éruption limnique sur le Lac Kivu s’est clôturé ce mardi 11 octobre. Ces assises ont eu lieu à l’hôtel Begonias, à Nguba.

Eric Shukrani

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