INAM

Blaise Bulonza, coordonnateur de l’organisation Initiative pour l’avenir meilleur (INAM) plaide auprès de la reine Mathilde de la Belgique en faveur des personnes vivant avec handicap. C’était lors du passage du couple royal Belge à l’hôpital de Panzi chez Dr Denis Mukwege, ce dimanche 12 juin, après Kinshasa et Lubumbashi.

Pour INAM, ce passage du couple royal Belge à Bukavu, était une grande occasion pour présenter la situation difficile que traversent la jeunesse congolaise au Sud-Kivu et pour celle-là vivant avec handicap.

« En République démocratique du Congo, les cas des handicaps sont légion. Certains sont dus aux contraintes congénitales, d’autres aux accidents et d’autres à la longue guerre que connait le pays depuis plus de deux décennies », renseigne Blaise Bulonza via sa lettre de plaidoyer.

Il a fait savoir à la reine Mathide que les personnes vivant avec handicap traversent une situation très dramatique en RDC en général et dans la province du Sud-Kivu en particulier.

Certes, ajoute-t-il, il existe des textes légaux qui les promeuvent, malheureusement ces textes restent lettres-mortes car leur mise en application demeure ineffective.

« Soyez notre ambassadrice auprès du Gouvernement Belge et auprès d’autres partenaires œuvrant dans le domaine humanitaire afin que l’aide de la Belgique auprès de la R.D Congo via sa majesté la Reine Mathilde soit effective », s’adresse-t-il à la reine.

A cette occasion, Blaise Bulonza, coordonnateur de l’INAM, a profité d’offrir comme cadeau, au nom de toute son organisation, une icône représentant le couple royal. Ceci dans le but de celer et manifester leur attachement à la reine, au couple royal et à toute la Belgique.

Après la remise de cette icône,  Blaise Bulonzo s’est fait tirer une photo avec le couple royal, pour immortaliser cette journée.

L’INAM est une association sans but lucratif qui milite pour la promotion et la protection des Droits de l’Homme en général et des droits des personnes vivant avec handicap en particulier depuis plusieurs années.

Marcel Asifiwe K.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *