Patience Bengehya

Le bourgmestre de la commune de Bagira, Patience Bengehya, est descendu sur le terrain ce dimanche 11 septembre pour inspecter l’avancement des travaux de construction de la route Lumumba-Ciriri.

Ces travaux qui ont débuté ce samedi 10 septembre vont permettre de relier la commune de Bagira à celle de Kadutu. Ceci en passant par le quartier Cikera, Cikonyi, Kanoshe et Ciriri. Des travaux rendus possibles après la construction du pont Mugaba.

Patience Bengehya, dit être venu encourager les agents de l’office des routes qui travaillent sur cette route.  « Et de féliciter la population qui a bien compris que c’est nécessaire de reculer chacun quelques mètres », a-t-il dit.

Pour l’ingénieur de cette société, présent sur le lieu, les travaux d’élargissement vont prendre trois jours. Puis, la phase qui consiste à aplanir la route interviendra après.

Lumumba-Ciriri
Construction de la route Lumumba-Ciriri

Le chef de quartier Lumumba, Munganga Nakarwa, dit apprécier l’exécution des travaux. Pour lui, après la construction du pont Mugaba, il fallait que la route soit construite aussi. Car, dit-il, cela ne servirait à rien si la route n’était pas construite.

Un sentiment de joie pour les habitants de ce coin de la ville de Bukavu. Pour eux cette route va permettre de désaliéner leur milieu. Madame Patience Kahindo, chargée de développement au sein de la commune de Bagira, qui accompagnait le bourgmestre, fait savoir que l’inspection de ces travaux le dimanche dénote de l’importance que la commune accorde à cette route.

Les travaux de construction de la route Lumumba-Ciriri exécutés sous financement du gouvernement provincial. Une occasion pour le bourgmestre de Bagira de remercier le gouverneur de la province du Sud-Kivu.

« J’exprime mes remerciements personnels et de toute la population de Bagira, en l’endroit de son excellence Mr le gouverneur Théo Ngwabidje Kasi qui a accepté de construire cette route. Je dois vous avouer que c’est depuis des décennies que cette route est demandée par la population mais aujourd’hui c’est une réalité », s’est-il exprimé.

Marecel Asifiwe K.

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