« Nous demandons à tous les jeunes de nous porter la main forte car nous seul, ne pouvons pas arriver au bout ». Cet appel est celle de Joëlla Neema Sambo, présidente du Conseil provinciale de la jeunesse du Sud-Kivu.
Elle indique qu’il y a beaucoup des défis à relever, des problèmes à résoudre pour arriver à l’encadrement de la jeunesse du Sud-Kivu. Afin d’atteindre les objectifs assignés.
Joëlla Sambo a lancé cet appel lors d’un point de presse tenu à Bukavu en provenance de Kinshasa ce vendredi 20 août. Au cours duquel elle a restitué le bilan de sa présence dans la capitale congolaise.
Elle était partie à Kishasa, dit-elle, avec tous les présidents de différentes provinces, pour participer à l’assemblée générale élective du Conseil national de la jeunesse. Une élection qui conduit William Kambila à la tête de ce nouveau comité de la jeunesse au niveau national.
« Nous demandons à tous les jeunes de l’accompagner pour pouvoir apporter les différents doléances et désidérata des jeunes des toutes les provinces à la hiérarchie », appelle-t-elle.
Des autorités nationales rencontrées par la présidente des jeunes
Son séjour dans la capitale congolaise, lui a permis également de rencontrer différentes personnalités de la République dont le chef de l’Etat. Une occasion pour la présidente de la jeunesse du Sud-Kivu de présenter les problèmes des jeunes de sa province.
« Je vous rassure que le président a été émis par notre discours de plaidoyer et nous a rassurer qu’il va essayer de nous accompagner de faire en sorte que la jeunesse puisse trouver sa place au sein du gouvernement et avec les différents projets et activités liés à la jeunesse dans son gouvernement », a-t-elle fait observer.
Joëlla Sambo évoque également sa rencontre avec le ministre d’Etat Guy Lwando qui a promis d’accompagner le Cadre national de la jeunesse avec aussi sa fondation. « Nous avons la chance d’avoir l’appui spécifique du ministre dans les activités que nous serons en train d’organiser au sein du Conseil de la jeunesse du Sud-Kivu ». Une promesse de Guy Lwando aux CPJ dirigés par des femmes.
Isabelle Barhigenga