Les forces vives de la société civile de Bagira, s’insurgent contre les turbulences et agitations des gens qui font circuler des messages tendant à salir l’image de leur commune et bloquer son développement.
Ces structures l’ont fait savoir lors d’une déclaration rendue publique ce jeudi 31 octobre 2024.
Les structures signataires de cette déclaration disent apporter leur soutien à l’autorité communale, Monsieur Patience Bengehya. Ceci, indiquent-elles, tout en mettant en garde ces personnes « mal intentionnées » qui veulent déstabiliser les institutions de cette commune.
« Nous portons à leur connaissance et celle de leurs manipulateurs que leur plan macabre est déjà voué à l’échec, car nous ne céderons pas, nous resterons unis et soutiendrons notre Bourgmestre jusqu’au bout », peut-on dans déclaration.
Et d’ajouter :
« Nous ne tolèrerons leurs bêtises. Cette déclaration est donc une mise en garde sévère », martèlent les signataires de cette dernière.
Il faut dire que c’est depuis quelques mois que Patience Bengehya, Bourgmestre de la commune de Bagira, est accusé de mauvaise gestion de cette entité par les structures de la société civile et de manque de vision pour développement de cette commune.
Mais aussi pour le manque de transparence dans la gestion des taxes perçues dans les six grands marchés de cette entité, de n’avoir réalisé aucun projet sur financement propre de la commune et de n’avoir organiser aucune assemblée budgétaire.
« Nous nous soutenons encore notre Bourgmestre car, comparativement à ses prédécesseurs c’est quelqu’un qui se soucie de notre commune et ses œuvres sont même palpables. Malgré un groupe des gens de mauvaise foi qui veulent toujours s’opposer à lui à cause de leurs intérêts égoïstes, la population a encore besoin de lui », déclare Charlotte Furaha Cikobe, présidente du marché central de Bagira.
Elle demande à ces gens de chercher comment se mettre ensemble avec le Bourgmestre, « sans mauvaise intention contre lui et notre entité », afin qu’ils discutent sur les réalités de la commune de Bagira « au lieu de continuer à lui accuser ce qu’il n’a jamais fait ».
François Mukoma