La section du Sud-Kivu de l’Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC) a tenu ce mercredi 9 février 2022 une rencontre importante avec la Presse locale. La restitution du contenu sur les » états généraux de la communication et des médias en RDC » a été à l’ordre du jour.
D’après Darius Kitoka, président de la section Sud-Kivu et délégué à cette réunion, il fallait d’après tout étudier la politique général de l’institution au pays.
Ce dernier a toutefois précisé que le cahier de charge des journalistes du Sud-Kivu a été présenté, et retenu à 90% par les décideurs au niveau national. Ce qui est une « fierté » selon le président récemment réélu à la tête de la corporation des journalistes au Sud-Kivu.
« Il faudrait maintenant que nous journaliste au niveau de l’UNPC nous puissions avoir un congrès, où nous allons maintenant assoir les acquis des Etats généraux de la Presse. Avoir un statut, avoir également un nouveau règlement d’Ordre Intérieur de l’union nationale de la Presse du Congo. Et surtout, faire la salubrité des médias au niveau national, mais également nouveau narratif pour vendre notre image et notre label de la RDC » A ajouté Darius Kitoka.
Apport des assises au journaliste du Sud-Kivu
Un rapport final est donc attendu après ces échanges dans la capitale. Cela, pour enfin savoir les nouvelles lois et bases sur lesquelles la Presse en RDC va désormais s’appuyer.
Pour Darius Kitoka, le Sud-Kivu va profiter de ces états généraux en matière de la salubrité, de reconnaissance, en termes de progrès. Mais également en termes de développement dans le secteur des médias.
« Je pense qu’avec le travail des Etats généraux de Kinshasa, les journalistes du Sud-Kivu comme membre du corps des journalistes du pays doit être fier de voir que au Sud-Kivu comme en RDC il y a de la valeur ajoutée » Conclu-t-il.
Rappelons que ces travaux sur les » états généraux de la communication et des média » s’est tenue à Kinshasa du 25 au 29 janvier derniers. La réunion de la restitution a eu lieu à l’Internews, dans la commune d’Ibanda, à Bukavu.
Eric Shukrani