Rigobert Sambokera

Qui est d’abord Rigobert Sambokera ? A cette question, CONGOLEO.NET vous propose la réponse dans cet élément de reportage de ce vendredi 9 décembre.

Rigobert Sambokera est un jeune leader dans la ville de Bukavu et président initiateur d’une dynamique portant son nom.

Quels sont ses réalisations dans la communauté alors ?

Dans la vie communautaire, renseigne-t-il, nous faisons des œuvres humanitaires, des travaux communautaires etc.

« Dans le cadre de l’encadrement de la jeunesse, nous aidons les enfants de la rue avec qui nous travaillons ensemble. Certains de ces enfants qui sont disponibles, nous les récupérerons et nous leur aidons avec des formations dans différents domaines », indique-t-il.

Son organisation a un centre au niveau de la Brasserie, dans le quartier Cikonyi en commune de Bagira, appelé « centre Rigobert Sambokera » où ils forment des jeunes en coupe couture. « Mais aussi nous leur amenons dans d’autres centres et nous payons moi et ma dynamique pour que chacun fasse la formation selon son choix », fait-il savoir.

Il indique que sa dynamique octroie la formation à ces jeunes bénéficiaires soit en menuiserie, soit en pâtisserie ou en coupe couture.

« Pour les mamans, nous intervenons dans des Associations villageoises d’épargne et de crédit (AVEC) car nous en avons à Kadutu, à Brasserie, à Panzi, à Igoki. Et cette année nous avons à Bagira. Nous parvenons à aider ces mamans selon leurs besoins exprimés à la dynamique », dit-il.

Que pouvons-nous retenir de la vie politique de Rigobert Sambokera ?

« Je suis un jeune ambitieux qui veut aller de l’avant avec la population, je n’ai pas encore rien réalisé dans ma vie politique. Mais en 2018 j’étais candidat à la députation nationale avec 4025 voix », renseigne-t-il.

Il faut dire que ce dernier continue toujours à militer dans la politique et promet d’être encore candidat aux élections prochaines de 2023 une fois que notre population, dit-il, nous le demande.

« Car nous sommes et nous serons toujours qu’au service de notre population », conclut-il.

Irène Bifomo

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