Affaires sociales

La division provinciale des affaires sociales vient de commémorer la Journée internationale de l’alphabétisation.

C’était au cours d’une conférence organisée ce mercredi 6 octobre dans l’enceinte de la dite division. C’était devant la commissaire des affaires sociales, Kinja Mwendanga Béatrice représentante du gouverneur de province.

Des autorités politico-administratives, policières et militaires dont les bourgmestres des trois communes de Bukavu y ont également pris part. Mais aussi des responsables des centres d’apprentissage  et leurs apprenants qui ont exposés différents produits de leur métier.

Madame Pétronie Kangela Makope, chef de division des affaires sociales, a expliqué l’importance de cette journée. Qui est celle de lutter contre l’analphabétisme des jeunes et adultes dans le monde moderne. « Le but est d’inviter les leaders intellectuels de chaque nation, à apporter leur contribution car nous avons le devoir de nous mobiliser pour combattre le phénomène d’analphabétisme », a-t-elle dit.

Affaires sociales
des centres de récupération exposent leurs produits

Prenant la parole, Kinja Mwendanga, a fait savoir que pour combattre l’analphabétisme, les nations se sont assignées à trouver d’autres moyens d’assurer la continuité de la logique dans l’apprentissage. Il s’agit pour elle de l’apprentissage à distance.

Elle trouve que cet apprentissage n’a pas été reparti d’une manière équitable. « Cette triste réalité est mondiale et nous devons traverser cette dépendance dans notre province », a-t-elle indiqué.

Il faut dire que cette journée est commémorée chaque 8 septembre. Mais le ministre nationale a demandé à chaque division de se choisir une journée pour sa commémoration. Elle a été commémorée en RDC sous le thème « alphabétisation pour une reprise accès sur l’humain : réduire le facteur numérique ».

En province elle s’est déroulée sous le thème « alphabétisation comme facteur d’affirmation de l’humain dans son développement intégral ». Elle s’est tenue grâce à la collaboration de la Monusco, Alpha Ujuzi, Programme BUCOP/8ème CEPAC et de l’UNESCO.

Irène Bifomo

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