Pour dire non à la gouvernance de Théo Ngwabidje et ainsi exiger sa démission comme Gouverneur, le Bureau de coordination de la société civile forces vives du Sud-Kivu appelle à une journée de ville morte pour ce mardi 1er mars.
Un appel fait par le bureau de la coordination de structure citoyenne en complicité avec tous les noyaux communaux et territoriaux de la province. C’était lors d’une conférence de presse qu’elle a tenu ce vendredi 25 février à son bureau.
La société civile renseigne que cette journée ville morte sur toute l’étendue de la province du Sud-Kivu c’est la conclusion de la réunion hebdomadaire du mardi 22 février avec les forces vives. Et celle tenue le jeudi 24 février avec les présidents des noyaux communaux territoriaux de cette structure.
Une décision prise, selon cette structure citoyenne, après analyse du contexte sociopolitique et après un constat du forcing de Théo Ngwabidje Kasi qui veut toujours gouverner la province par défis.
« Et plonger la province davantage dans une situation d’incohésion sociale et politique entre les différentes forces, et ce, malgré les multiples appels à la démission » renchérit le bureau de la coordination de la société civile.
Les acteurs de la société civile du Sud-Kivu décident de lancer une série d’actions citoyennes pour exiger la démission de Théo Ngwabidje.
Ils citent comme par exemple des sit in, actions de désobéissance fiscale et civile. « Car il n’a plus confiance de sa population locale », déclarent-ils.
Victor Banza M.