« Le bureau du Conseil provincial de la jeunesse (CPJ) SK, est peiné de constater qu’une minorité de ses membres manipulés et à mal de positionnement s’évertuent à jeter de l’opprobre sur cette jeunesse respectable du Sud-Kivu en posant des actes vide de sens et illégaux ».
C’est par cette phrase que le CPJ SK apporte son soutien à sa présidente, Joëlla Sambo quelques jours après que certains membre de ce conseil l’ont signifiés leur désaveux.
Dans un communiqué du 8 août et signé par Joëlle Nsimire Bosingisi, conseillère chargée des relations publiques, cette structure de la jeunesse reconnait ainsi à Joëlla Sambo comme seul représentante de cette structure.
Le communiqué indique que la déclaration qui circule sur les médias sociaux, est l’acte de 4 de ses membres dont deux sont en suspension. Et de signifier que les textes régissant le CPJ donnent le pouvoir uniquement à l’assemblée générale pour désavouer ou radier une personne du bureau.
« Donc, il sied de rappeler que le prétendu désaveu dont font allusion les 4 collègues précités est nul et de nul effet », peut-on lire sur le communiqué. Il renchérit en disant que ces 4 personnes ne sont pas habilitées à prendre une telle décision. « Mais aussi par le fait que leurs allégations fait à la présidente du CPJ sont sans fondement ni soubassement ».
Joëlle Nsimire, au nom du bureau, fait savoir que le CPJ est constitué de 9 personnes et pas 8. Elle informe que le bureau va saisir l’assemblée générale pour sanctionner ces personnes.
Marcel Asifiwe