Le Conseil Provincial de la Jeunesse du Sud-Kivu a ce mardi 25 janvier 2022 réuni plusieurs Organisations des jeunes et des partenaires.

Selon Joella Sambo, présidente de cette structure des jeunes au niveau de province, la rencontre avait un but de réunir ces Organisations des Jeunes avec des partenaires techniques et financiers.

Cela, pouvait d’après elle, donner une chance à ces jeunes d’être entendus et peut-être décrocher de l’appui de ces partenaires.

« Beaucoup  d’Organisation des jeunes qui sont en train de mettre des activités innovantes sur le terrain, mais malheureusement, ils ne sont pas connus par le gouvernement, ils ne sont pas connu par des partenaires. Pourtant, ces derniers ont aussi besoin de l’accompagnement technique et financier ». A indiqué Joella Sambo devant la presse locale.

Elle poursuit en disant que cette réunion a donné un cadre d’échanges entre ces deux groupes, pour appuyer les initiatives des jeunes dans la province. Notamment, montrer aux « partenaires techniques et financiers » qui appuient les jeunes, ce qu’ils sont en train de réaliser sur le terrain.

Les attentes des jeunes:

Au cours de cette réunion, les jeunes ont montré aux partenaires, les différentes activités qu’ils réalisent. Cela, pour donner aux partenaires l’idée sur la possibilité de les accompagner.

D’après la présidente du Conseil Provincial de la Jeunesse, ces démarches a aussi l’objectif de montrer à ces organisations qu’elles ne doivent pas vendre négativement l’image de la province.

En présence des autorités provinciales, il était question d’appeler tout le monde à intervenir dans son secteur, pour accompagner la jeunesse.

Ainsi, cette réunion qui a rassemblé plusieurs Organisations des jeunes réunies en Asbel et des partenaires, s’est inscrit dans le but d’aider ces dites organisations à accéder aux financements et l’expertises de la part des partenaires.

Signalons que cette activité s’est passée dans la salle CLAC, en face de l’Inspection Provinciale de l’EPST, au niveau de l’Institut d’Ibanda (à Ndendere) à Bukavu.

Eric Shukrani