Mutendela

Sauf changement de dernière minute, l’Assemblée Générale Elective de la Ligue de Football du Sud-Kivu se tient le jeudi 4 novembre prochain. Baudouin Mutendela et Magambo Budundwa seront en face-à-face.

Les sources très proches de la Ligue, nous révèlent que ces élections ne se tiennent juste après l’Assemblée Générale Elective du Maniema. Chose qui  prouve qu’il peut y avoir des rebondissements dans le programme au Sud-Kivu.

Cet évènement très attendu, verra la Baudouin Mutendela, président sortant, se présenter comme candidat à une nouvelle aventure à la LIFSKI.

Après près de deux ans passés à la tête du comité de la Ligue, l’ancien dirigeant de l’OC Muungano a été réclamé par ses administrés. Voilà qui lui a donné la force de vouloir briguer un autre mandat.

Pour assumer une nouvelle fois le rôle de président, Baudouin Mutendela fera face à une lourde concurrence. Notamment celle de Magambo Budundwa dit MAG, président sortant de l’EUFBUK et de Bashizi Zahinda.

Après plus de 5 ans à la tête de l’EUFBUK, le président Magambo vise le sommet de Ligue du Sud-Kivu. Celui-ci se présente donc comme le principal adversaire de Baudouin Mutendela pour cet exercice démocratique.

Les deux hommes ont fait un parcours exceptionnel, mais après un premier mandant réussi, une partie de l’opinion penche sur la réélection du président en exercice de la LIFSKI.

Voici la liste définitive des candidatures :

Candidats présidents :

  1. Bashizi Zahinda ;
  2. Baudouin Mutendela ;
  3. Magambo Budundwa (président MAG) ;

Candidat 1er vice-président :

  1. Adolph Bukaraba (Ndundu Bukaraba) ;

Candidats 2e vice-président :

  1. Kamate Kisarumba ;
  2. Adolph Bukaraba.

Secrétaire Provincial :

  1. Kwibe Kitungano Fiston ;
  2. Mpuruta Corneille ;

Secrétaire adjoint :

  1. Wema Bahati.

Trésorier :

  1. Banike Kasaki ;
  2. Banywesize Narubuye.

Membres :

  1. Baliwa Ngoy Flamand ;
  2. Habamungu Lufungulo

La commission électorale dit s’appuyer sur le statut de la FECOFA, à ses articles 48, 49 et 50. Mais également au code électoral , principalement à ses articles 7, 12 et 13 pour justifier sa décision.

Pour rappel, Baudouin Mutendela et Adolph Bukaraba conduisaient le comité de normalisation après les élections avortées d’il y a une année. Ces derniers étaient respectivement président et vice-président du dit comité.

Eric Shukrani

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